L’Ordre des architectes a invité toute une série d’architectes à écrire sur le sens de la pandémie et l’importance de l’architecture pour y faire face (l’architecture est encore une troisième peau avec laquelle se protéger, où se réfugier… Ils ont fondé leur discours sur le monde du domestique, d’autres sur le besoin d’espaces intermédiaires, d’autres sur comment introduire du vert dans nos environnements à la recherche d’espaces sains, orthodoxes en sociologie, d’autres dans l’architecture qui viendrait, dans la bonne distance à garder… d’où j’ai déduit que, contre le mantra que la pandémie nous affecte tous (vérité), que face à la pandémie, tous nous sommes égaux (un mensonge), car chacun, selon ses moyens et sa position sociale, le font face de forme très différente Ce n’est pas la même chose de s’enfermer dans une maison avec jardin et vue sur la mer que dans un appartement de 50 ㎡ à la périphérie d’une grande ville, avec six membres de famille.